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La "légion des volontaires français contre le bolchevisme" (L.V.F.)

 

!!! A l'attention du lecteur !!! cette page n'est en aucun cas une apologie du nazisme, ni du fascisme français, elle évoque simplement une page de l'histoire de mon grand-père, Eugène BLOUIN,, ancien combattant de 14/18 décoré de la médaille militaire, aveuglé par le nationalisme breton et le propagande anti-bolchevique. Il a d'ailleurs été condamné à de la "prison ferme" par la justice française de l'époque pour ces faits.

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Après l'invasion de l'URSS par l'Allemagne en 1941, des hommes politiques en France décident de mettre en place une structure militaire pour participer à ce qu'ils appellent «la croisade contre le bolchevisme». Il s'agit du MSR, Mouvement social révolutionnaire, parti maréchaliste fondé par Eugène Deloncle qui fournit la plupart des membres de la Légion des volontaires français, le PPF, Parti populaire français, fondé en 1936 par Jacques Doriot, qui compte 100 000 adhérents à la veille de la guerre. (son organe de presse est L'Émancipation nationale), du RNP, Rassemblement national populaire, créé en février 1941, codirigé par Marcel Déat et Eugène Deloncle qui rassemble des collaborateurs de diverses tendances et du Franciste de Marcel Boucard.

Pendant un certain temps, le gouvernement de Vichy a semblé pour le moins circonspect à l'égard de l'aventureuse "croisade de libération européenne contre le bolchevisme", subordonnant son engagement aux désirs de l'occupant.

Dès que l'accord des Allemands (et leur financement) fut obtenu, sur l'intervention décisive de l'ambassadeur allemand Otto Abetz, l'attitude changea, le maréchal Pétain se réfugiant dans le parti d'une certaine ambiguïté. Il ne fit rien pour entraver la constitution de la Légion des Volontaires Français contre le bolchevisme (L.V.F.), le 11 juillet 1941. Il ne réagit pas à l'autorisation gouvernementale donnée par l'amiral Darlan, chef du gouvernement de Vichy (de février 1941 à avril 1942) le 5 août. Et il semble passer outre ses premiers regrets de voir les membres de cette milice servir sous l'uniforme de l'occupant. Il se garde bien toutefois d'en favoriser trop ouvertement la mise en place, interdisant ainsi aux officiers d'active de l'armée d'armistice de s'y engager.

La Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF) est une association privée d’après la loi de 1901. Elle est fondée en juillet 1941 dans le but de recruter des volontaires en France pour combattre le bolchevisme sur le front de l’Est. Elle est fondée par Marcel Déat, d'après une idée de Jacques Doriot, son président est Eugène Deloncle.

Un comité d'action, composé de chefs de partis collaborateurs de Paris et d'un comité d'honneur rassemblant des personnalités religieuses, scientifiques et artistiques, se constituent. Un communiqué précise ses objectifs : «Les mouvements français ont décidé (…) de représenter la France sur le front russe et d'y prendre part en son nom au combat pour la défense de la civilisation européenne » traduction de l'aspiration de ces partis à l'édification d'un "ordre nouveau" européen.

Il s'agit d'engager des volontaires français aux côtés de l'armée allemande contre les Soviétiques dès l'hiver 1942. Par cette participation militaire au conflit, Darlan et ses amis, convaincus de "l'inéluctable victoire allemande", espèrent obtenir pour la France une place plus avantageuse dans l'Europe nouvelle conçue par Hitler.

Le 18 juillet 1941, (ou le 25 juillet) a lieu au vélodrome d'hiver la première manifestation de masse  pour lancer le recrutement pour la Croisade antibolchevique . Deloncle, Déat, Clémenti et Doriot président cette première réunion de la LVF,

  • Deloncle annonce l'envoi de généraux en zone non occupée pour recruter.
  • Clémenti : "Ce n'est pas la France qui a été battue, mais la bande de salauds, de juifs et de capitalistes."
  • Doriot : "Le bolchevisme vaincu fera l'Europe unie."

Marcel DÉAT

Les autorités allemandes donnent leur feu vert, mais limitent l'effectif à 100.000 hommes.

Le recrutement prévoit la mobilisation des hommes âgés entre 18 et 45 ans, à condition d'être «né de parents aryens» et en bonne santé.

En réponse à une campagne de presse importante, au message de soutien de Pétain au chef de la L.V.F. et au soutien des préfets dans les efforts de recrutement des "amis de la L.V.F.", seuls 800 sur les 1 600 hommes qui se sont présentés, sont, suite aux méfiances allemandes, retenus comme volontaires et regroupés à Versailles. Les résultats sont maigres dans les Côtes-du-Nord comme dans le reste de la France.

En septembre 1941, Doriot part sur le front de l'Est (en Pologne) avec un contingent de volontaires qui est intégré de fait dans l'armée allemande (la France n'ayant pas déclaré la guerre à l'URSS) et forme le 638e régiment de l'infanterie de l'armée de terre allemande. Les volontaires de la L.V.F. portent l'uniforme allemand et prêtent serment au chef des armées allemandes, Adolf Hitler.

Fin octobre, le régiment part pour le front aux alentours de Moscou.

Les doutes sur l'assentiment de Pétain se dissipent quand on lit le message qu'il adressa aux volontaires en novembre 1941 : "A la veille de vos prochains combats, je suis heureux de savoir que vous n'oubliez pas que vous détenez une part de notre honneur militaire. Il n'est peut-être pas de tâche plus utile à l'heure présente que de rendre à notre pays confiance dans sa propre vertu".

Au début de décembre 41, sous les ordres du colonel LABONNE, le régiment 638 de la Wehrmacht reçoit son baptême du feu à 50 kilomètres de la Place rouge de Moscou. Son épreuve face à l'armée russe demeure son seul épisode au front.

Après une débâcle militaire à Djukovo, ses bataillons sont dispersés et intégrés à des divisions de sécurité où ils participent à la chasse aux partisans russes, activité jugée secondaire par la Wehrmacht.

La L.V.F., devenue une unité régulière de l'armée allemande, est jugée «incapable de combattre sur le front russe». Le rapport d'un officier allemand évoque l'incapacité des officiers, le manque de morale ... ».(cité par Antoine PLAIT - Revue Histoire des Armées)

En 1942, Vichy abandonne toutes réticences et tente de récupérer la Légion, le régime reconnaît l'utilité publique de la L.V.F., et une nouvelle campagne de recrutement est lancée.

Le 18 juillet 1942, une loi du gouvernement de Vichy instaure la Légion tricolore, la nouvelle appellation de la L.V.F.

Sur le thème du don de sa personne au service d'une grande cause, la L.V.F. recrute sous cette nouvelle appellation.

Pour appuyer cette incitation, on fait appel à l'imagerie napoléonienne : la Grande Armée charge, Napoléon Bonaparte en tête. Du V majuscule de l'insigne à cette charge héroïque,  le message d'une victoire sans nul doute, d'une assurance à toute épreuve doit donner envie d'intégrer cette Légion à un jeune que l'on tutoie déjà.

Mais les autorités allemandes, averties par le comportement jugé insuffisant du 638ème  régiment, refusent près de la moitié des volontaires pour des raisons médicales suite à des examen draconiens était dans le but de limiter la taille de la LVF (décision prise tardivement et en secret). Stulpnagel et le régime militaire allemand se méfiaient énormément d’une légion française et la L.V.F. passe sous contrôle des allemands.

Pour récupérer les refusés, les partis politiques collaborationnistes créaient une association des Amis de la Légion afin d'établir un instrument politique mobilisable pour une éventuelle «marche à Vichy» aussitôt interdite par les autorités allemandes.

Les raisons de l'engagement des volontaires dans la L.V.F. sont idéologiques, de conviction catholique ou politique mais aussi économiques. Outre que le droit aux pensions et la garantie de retrouver son emploi ou d'être favorisé pour l'embauche après la guerre, la L.V.F. accorde des soldes nettement supérieures aux salaires dans le civil, notamment pour les officiers. Un soldat recevait une solde de 600 FF ainsi que des indemnités de 1200 FF ; un colonel encaissait 3000 FF et 12400 FF d'indemnité. Comparé du salaire d'un dactylographe qui ne dépassait pas le 2000 FF par mois, la Légion représentait un fort intérêt économique, surtout pour les officiers. Ainsi peut s'expliquer l'âge élevé d'un certain nombre des recrutés ayant souvent participés à la première guerre mondiale. (Antoine Plait (1997) : La L.V.F. (1941-1944) : collaboration vouée à l’échec. dans la Revue de l’Histoire des Armées, No 207 juin 1997,  p. 47-56)

Eugène BLOUIN a 45 ans lorsqu'il s'engage.

 

Finalement la tentative de combattre aux côtés des Allemands et de créer une troupe paramilitaire pour toute éventualité en France demeure un échec. La société française reste réservée à l'égard des combattants côtes à côtes avec les « boches ». La Légion à vocation anti-bolchevique ne fait recette auprès des Français.  Jusqu'en 1943, seul 91 officiers, 390 sous-officiers et 2 825 soldats partent pour le front de l'est. Pour l'ensemble de la période, on estime l'effectif de la Légion à  20.000 hommes. De plus, des incidents des volontaires en vacances avec la police nuisent à l'image de la L.V.F., leur comportement en « milice fasciste » contrôlant des passants et extorquant de l'argent aux commerçants lui font perdre sa crédibilité. Seule une minorité, notamment les épouses des combattants et les commerçants de Paris, semble avoir soutenu la L.V.F. moralement et financièrement.

En septembre 1943, Edgar Puaud reçoit le commandement de la L.V.F. A cette occasion il est nommé colonel de la Wehrmacht.

Inefficace sur le plan militaire et doté d'un recrutement douteux, la Légion demeure un instrument politique et de propagande, créé par les partis collaborationnistes. En regroupant des «mercenaires et des marginaux» (selon Jean-Pierre Azéma) dans ses rangs, sa création avait des fins politiques. Pour Owen Davey (auteur d'une étude sur la L.V.F.), la Légion constituait une éventuelle armée de partisans, prête à rentrer en France après une victoire définitive de l'Allemagne nazie et à effectuer «la tâche de nettoyage» (Owen Davey (1969) : La Légion des Volontaires Français contre le bolchevisme. A study in the Aspects of  French Collaboration 1941-1942.  University of New Brunswick )

Finalement, en juillet/août 1944, le 638ème régiment (les restes de la L.V.F , un millier d'hommes) est amalgamé avec la Französische SS-Freiwilligen-Sturmbrigade "Frankreich" pour former une grande unité de Waffen-SS française.

En effet, parallèlement à la L.V.F, d'autres Français s'étaient engagés dans les forces allemandes, dont les jeunes du Maréchal qui partent pour le N.S.K.K,ces unités se transformant peu à peu en unités combattantes.

Ces hommes quittent petit à petit le N.S.K.K (surnommé Coin Coin !) pour s'engager dans la Waffen SS. Le 22 juillet 1943 les Français peuvent s'engager directement dans la Waffen SS et sont formés à l'école de Sennheim en Alsace, Deux cent miliciens durant l'été 43 s'engagent. Au printemps 1944 les Allemands forment la Französische SS-Freiwilligen-Sturmbrigade "Frankreich".

Le 1er Bataillon avec environ 1000 hommes à 3 compagnies arrive le premier en Pologne en août 1944 et combat avec la Horst Wessel" en Poméranie. Après les durs combats dans les Carpathes (il reste environ 2/10° de l'effectif.)

Le 2° Bataillon est formé à Scharnegast (Région de Dantzig),

Le 3° Bataillon est formé à Sennheim (Alsace).

Désignée Waffen Grenadier-Brigade der SS "Charlemagne", cette unité devient un groupe hétéroclite de 8 000 hommes aux motivations diverses.

A cette occasion de nombreux soldats quittes la L.V.F et partent rejoindre d'autres unités notamment la "Das Reich", la "Totenkopf" et la Brigade d'assaut Wallonie

Des marins Français de la Krigsmarine rejoignent la Waffen SS (Division Charklemagne) ainsi que 1 000 miliciens. Tous les hommes se rejoignent au camp de Wildflecken et forment désormais les Bataillon 57 et 58 de la Waffen SS (33ème Division Charlemagne), ce qui se fais avec beaucoup de difficultés ("Vieux" de la LVF - jeunes Waffen SS - miliciens - matelots et hommes du N.S.K.K) outre les plus grandes difficultés qui furent celles de l’approvisionnement. L’Allemagne perdait la guerre et manquait de tout. La Divisiuon Charlemagne fut déployé au front en Poméranie sans transport, sans même des Panzerfaust.

Puaud, nommé général par Vichy en avril 1944 et commandeur de la légion d'honneur, est alors transféré dans la Waffen-SS au grade de Waffen-Oberfüher (grade situé entre colonel et général). S'il prend le commandement des SS français, son grade de général n'est pas reconnu par les autorités allemandes.

Le 10 février 1945, la brigade devient division. Puaud en assure la direction opérationnelle, hiérarchiquement sous les ordres du SS-Brigadeführer Gustav Krukenberg.

 Le 17 février les Français partent en Poméranie pour tenter de faire barrage aux troupes d'assaut de l'Armée Rouge en protégeant la retraite allemande.

Les hommes montent au front sans aucun armement lourd ni même de Panzerfaust.

Le 22, à Hammerstein entre Stettin et Dantzig, dès les premiers engagements, les 1° et 2° bataillons du régiment 57 sont durement touchés, le régiment 58 est lui aussi accroché, il fait retraite vers Neustettin le 26.

Le 1 mars, la division est réorganisée avec 2 régiments et dirigée immédiatement à Korlin et est en place le 3 avec 4000 hommes, ils sont encerclés.

A Redlin, le Bataillon d'Henri Fenet (selon Pierre du Vair) ou Fernet (selon Jean Mabire in la division Charlemagne) avec KRUKENBERG perce vers Belgard.

Le régiment de PUAUD part ensuite avec du retard, se retrouve isolé et est gravement décimé. Edgar Puaud est porté disparu le 5 mars 1945, vraisemblablement mort.

Le bataillon de Bassompierre reste à Korlin. Il perce à travers les Soviétiques mais disparaît petit à petit en combattant jusqu'à la mort.

Le bataillon de Fernet perce en direction de Swinemunde. Le 12, des rescapés rejoignent Kolberg où ils seront évacués par la Kriegsmarine. D'autres se retranchent dans la poche de Dantzig et seront évacués vers le Danemark

Début mars 1945, la division "Charlemagne" est éclatée en petits "Kampfgruppen" qui refluent en désordre.

On retrouve la 33ème division Charlemagne à Carpin, on reforme 2 bataillons avec les restes des combats précédents environ 700 hommes, le régiment 57 est commandé par l'Hauptsturmfuhrer Fernet et le 58 par l'Ostuf Geromini.

Le 1 avril, ils combattent avec la 4° SS Division Polizei et prennent le nom de détachement "Martin".

Début avril 45, proposition est faite à ceux qui le veulent plus combattre de partir dans une unité de terrassement. Moins de 2% décident de quitter la Waffen SS (devise oblige), 700 restent, le Bataillon de terrassiers sera dispersé  le 27 avril. Les hommes mettent des affaires civiles et se font passer pour des S.T.O (Service Obiligatoire) ou des anciens K.G (prisonnier de guerre).

Le 23 avril l'ordre est donné de se rendre sur Berlin, 4 Compagnies, un Kampfschule (groupe des écoles), l'État Major du Bataillon 57 et l'État Major de la division, soit 350 hommes.

Le 25, une centaine d'hommes sont dans Berlin. L'unité combat de façon morcelée notamment par section, et perd ses hommes petit à petit dans d'impitoyables combats de rues.

Le 28, Eugène VAULOT, après avoir détruit au Panzerfaust huit chars russes est le premier français a être décoré de la RitterKreuz. Il est tué quelques jours plus tard.

Le 2 mai tout est fini, seule une trentaine d'hommes captifs sortent de Berlin. Soixante deux chars russes ont été détruits en combats rapprochés par les Francais dans Berlin.

Entre septembre 1941 et septembre 1944, quelque 30 000 Français se sont volontairement engagés pour combattre, non sans courage pour certains d'entre eux, au sein de l'armée allemande sur le front de l'Est. Qui étaient ces volontaires français sous uniforme allemand ? Étaient-ils seulement ces "ingénus de 42", ces "petits pioupious de la L.V.F." (auxquels certains reprochèrent en 1948, à l'heure où le conflit contre l'Union soviétique semblait inéluctable, de n'avoir "eu qu'un tort, celui de devancer l'appel") ? Quelles ont été les motivations réelles (philosophiques, politiques, économiques,...) de ces étranges soldats qui, à la L.V.F puis à partir de 1944 à la Waffen SS, crurent, paradoxalement, servir leur pays en se battant aux côtés de ceux qui l'occupaient ?...

Méprisés par la majorité des Français, suspects politiquement et militairement aux yeux des Allemands, les légionnaires de la L.V.F. ne trouvèrent pas réellement leur place dans le combat contre le bolchévisme.

Si "le recrutement fut déplorable et ne comprit en très grande majorité que des éléments tarés et des déclassés inaptes à toute vie sociale normale aux motivations diverses (politique, paye, aventure, possibilité d'échapper à des poursuites judiciaires, lampistes) qui s'épuisent dans des querelles sans fin entre P.P.F. et M.S.R"  selon certains, Mayol de Lupé, subjugué par le nazisme, affirme que ; "si tous ne sont pas de petits saints, il y a chez tous de la gloire, de l'héroïsme".

Pour les plus politiques d'entre eux, l'engagement sous l'uniforme allemand et le serment des légionnaires à Adolf Hitler n'ont représenté qu'une étape de l'errance qui les a menés, comme Doriot du Communisme ou come Marcel Déat du socialisme, à l'impasse tragique de la collaboration avec les nazis. Selon une estimation allemande, la L.V.F. n'aurait comporté à ses débuts (environ 3 000 hommes retenus) que 30 % à 40 % d'engagés par idéal.

 

Le résultat prévisible d'un tel recrutement ne pouvait être sur le plan militaire que catastrophique. La fin de l'année 1943, avec la création d'une unité française SS marque une mutation profonde dans la nature même de l'engagement. Pour certains la lutte ne doit plus se cantonner au seul front de l'Est et se verraient bien prêter main-forte à la milice contre les maquis. Dès lors, l'opération politique menée par les chefs des partis collaborationnistes semble bien loin. Le prétexte idéologique n'existe plus, les masques sont tombés en même temps que le combat apparaît aux volontaires sans espoir. Il n'est plus question de la France, mais de l'Europe, de la victoire de l'Allemagne, de la race et du fanatisme national-socialiste. "Les SS français sont en fait purement et simplement des soldats allemands".

 

 

 

fiche réalisée le 1 mars 2004, corrigée le 5 janvier 2005

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